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Le Blog Fellah Trade - Page 33

  • Russie : le contexte international profite aux tomates marocaines

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    La tomate représente une grande part sur ​​le marché mondial des fruits et légumes. En Russie, les tomates turques sont remplacées par celles marocaines.

    Les tomates représentent une grande part sur ​​le marché mondial des fruits et légumes. Ceci est justifié également par les chiffres enregistrés. En 2014, un total de 9,1 milliards de dollars ont été investis dans le marché de la tomate. Cela représente une augmentation de 10,4 % par rapport à 2010. Les plus importants distributeurs de tomates sont des pays de toutes les régions du monde, indique Freshplaza.com.

    Le site d’information procède cette semaine à une analyse de la situation de nombreux pays en matière d’exportation de tomates: le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne, la Pologne, l’Italie, la France, l’Espagne, le Maroc, la Turquie, la Russie, la Jordanie, le Pakistan, l’Australie, le Japon, les États-Unis, la République dominicaine, le Mexique et la Chine.

    Les tomates turques réjouissaient d’une grande importance auprès des consommateurs russes, mais depuis que le gouvernement russe a fermé sa frontière  en janvier aux importations turques, y compris les tomates, les importateurs russes ont remplacés ce fruit par des produits marocains malgré le long chemin que vont subir les tomates marocaines pour arriver à la Russie, indique le site d’information. Par conséquent, les importations ont été réduites et les prix en Russie ont fortement augmenté. « La conclusion est que le boycott sur les tomates turques est une grande perte pour le marché russe», déclare un importateur cité par le site d’information.

     

    Source : www.agrimaroc.ma

  • Marrackech, hôte de la COP22

    cop22-maroc.jpgLe Maroc commence à mettre en place son dispositif humain et logistique pour l'organisation de la COP 22 à l'automne à Marrakech.

    Les autorités ont dévoilé le choix, piloté par le Palais royal, de l'équipe chargée de mettre en œuvre le round marocain de la négociation internationale sur le climat qui se déroulera du 7 au 18 novembre. Sept personnalités seront impliquées dans l'organisation de cette 22ème Conférence des Parties (d'où le nom COP) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

    À l’instar de Laurent Fabius, homme-orchestre de la conférence de Paris, le ministre des affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar, a été nommé président du comité de pilotage de la COP22.

    Hakima El Haite, ministre déléguée en charge de l'Environnement sera l’envoyée spéciale du climat. Aziz Mékouar, un ancien ambassadeur à Rome ou Washington s'est vu lui confier la responsabilité du pôle négociations.

    Après la conférence de décembre à Paris qui s'est soldée par un accord politique, la COP22 de Marrakech, qui devrait être moins imposante par la taille, sera néanmoins cruciale. Y seront sans doute détaillés les textes et procédures qui vont servir à faire vivre le futur traité entre potentiellement 195 nations ! Une gageure. D'ici là un sommet le 22 avril à New-York va formaliser l'engagement des Etats.

    Enfin, la COP22 sera l'occasion pour le Maroc de faire valoir ses nombreux projets en matière d'énergies renouvelables, notamment éoliens ou solaires comme le complexe thermo-solaire Noor inauguré le 4 février à Ouarzazate.

    Même s'il est en train, en parallèle de fortement renforcer ses capacités électriques à charbon, le royaume s'est fixé l’objectif de 52% de sa capacité électrique en énergies vertes pour 2030.  Autre chiffre annoncé pendant  la COP21, le royaume promet de réduire ses émissions de gaz à effets de serre de 13% entre 2010 et 2030. Il émet actuellement 2,1 tonnes de Co² par habitant et par an liés aux énergies fossiles, bien moins que la moyenne européenne (7,3 tonnes) ou même mondiale (4,9 tonnes).

    Source : www.usinenouvelle.com

  • Recensement général de l'agriculture en cours

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    Le recensement général de l'Agriculture, première étape pour la création du Registre National Agricole (RNA), a été lancé officiellement dans la province de Settat.

    A cette occasion, le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, a mis en exergue l’importance des recensements agricoles pour le développement agricole et rural et le développement économique en général, notant que plusieurs décisions des autorités publiques, des entreprises et des collectivités sont basées sur ces recensements.

    Cette opération statistique d'envergure nationale s'inscrit dans la lignée du Programme mondial des recensements agricoles 2020, piloté par l'Organisation mondiale de l'agriculture et de l'alimentation (FAO), affirme le ministre dans une allocution lue en son nom par le Secrétaire général du même département, M. Mohammed Sadiki.

    La disponibilité de données statistiques fiables et actualisées sur les structures agricoles permettra de suivre les évolutions du secteur et la dynamique de modernisation sans précédent insufflée par la stratégie sectorielle Plan Maroc Vert (PMV), a souligné M. Akhannouch.

    La réalisation du recensement agricole constitue une étape essentielle pour la création du Registre National Agricole, explique-t-il, ajoutant que ce recensement est la première opération statistique utilisant la technologie de transmission de la géométrie des parcelles en temps réel.

    Et de préciser que le recensement général de l'Agriculture s'inscrit dans le cadre du programme quinquennal des enquêtes périodiques destinées à actualiser les données sur les structures économiques et sociales, annoncées dans le message Royal destiné aux participants à la journée mondiale de la statistique en octobre 2010.

    L'opération de collecte des données se fera à l'aide de tablettes paramétrées et portera sur le recensement d'une population de 1,5 million d'agriculteurs exploitant une superficie agricole utile de près de 9 millions d'hectares, précise-t-on de même source. En terme de logistique liée à la collecte des données, le recensement prévoit la mobilisation de plus de 2.000 enquêteurs, contrôleurs et superviseurs du ministère et plus de 600 véhicules.

    Etaient présents à cet événement, les représentants de la profession agricole, des bailleurs de fonds, des partenaires institutionnels, des autorités régionales et locales, ainsi que des responsables du ministère.

     

    Source : www.menara.ma