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Le Blog Fellah Trade - Page 35

  • "Terroir du Maroc": un nouveau Label Collectif

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    L'Agence pour le Développement Agricole (ADA) vient de lancer le Label Collectif « Terroir du Maroc » pour valoriser et promouvoir les produits du terroir marocain auprès des consommateurs marocains et étrangers.

    L'ADA a procédé à l'enregistrement du Label en tant que marque collective avec son règlement d’usage auprès de l'Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale.

    La régularisation de l'utilisation de la mention produits du terroir marocain est le principal objectif de la création d’un Label collectif, et ce afin d’améliorer le revenu des petits producteurs et de rendre leurs produits plus compétitifs.

    L'obtention de l'autorisation d'usage du Label collectif « Terroir du Maroc » se fait par dépôt d'un dossier de demande auprès de l'ADA. Ainsi, d'usage du label collectif est délivré pour une durée de 3 ans renouvelable.

     

    Source : Agrimaroc.ma

  • Avenir pour "les emplois verts" au Maroc

    green-energy.jpgLe royaume a fait connaître ses ambitions sur le plan de développement des énergies renouvelables.
    A ce titre, il se trouve que les ressources humaines font actuellement et cruellement défaut.

     

    Pour palier au manque de personnel qualifié dans les énergies renouvelables, le Maroc se lance dans un projet de plan de formation de personnes qui travailleront ou seront en charge ultérieurement des futures plateformes d’exploitation des énergies vertes.

    D’ici à 2020, ce créneau devrait engendrer pour le pays, entre 50 000 et 60 000 postes.

    Pour mettre en oeuvre ce projet de plan de formation aux futurs “métiers verts” et former ainsi les personnels, trois instituts IFMEREE (institut de formation aux métiers des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique) sont réalisés ou en cours de réalisation.

    L’institut situé à Oujda est déjà prêt, celui de Ouarzazate et celui de Tanger sont actuellement en construction pour être livrés en 2017.

    Ces instituts formeront près de 1500 opérateurs, des techniciens et des cadres intermédiaires qui pourront ensuite intégrer des entreprises spécialisées du secteur des énergies renouvelables, énergies propres et annexes.
    Dans un premier temps, les instituts recevront des salariés en formation continue, puis ensuite des étudiants Bac -3 à Bac +3.

    L’investissement total représente plus de 280 millions de dirhams.
    Le Royaume va contribuer pour 60 millions de dirhams, l’AFD et l’UE pour 120 millions de dirhams, 22 millions de dirhams par l’expertise allemande, et autres contributions diverses.

    Pour assurer la formation, le pays s’appuiera sur  :

    • la Fédération nationale de l’électricité, de l’électronique et des énergies renouvelables (Fenelec),
    • la Fédération des industries métallurgiques, mécaniques et électromécaniques (Fimme),
    • la Moroccan Agency for Solar Energy (Masen),
    • l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE)
    • l’Agence pour le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (Aderee)

    Actuellement, l’énergie du Maroc est importée pour 90 % . Ainsi, et pour inverser la tendance le Maroc s’engage fortement ces dernières années dans la production des énergies renouvelables.

    Pour sa production électrique prévue en 2020 à 2000 MW, le Maroc souhaite atteindre 42 % de part des énergies renouvelables.

    Le pays s’est lancé depuis 2009 dans le “Plan solaire” avec les technologies photovoltaïques et thermodynamiques, la centrale de Boujdour (20 MW) la centrale de Ouarzazate (70 MW) et la centrale de Laâyoune (80 MW) comptent dans le projet Noor PV1 pour le photovoltaïque.

    Noor 1 (169 MW), Noor 2 (200 MW) et Noor 3 (150 MW) sont les trois phases du pendant thermodynamique.
    Pour 850 MW d’énergie éolienne sur 5 sites, l’appel d’offres a été lancé.

     

    Source : www.agrimaroc.ma

  • Huile d'olive : une belle opportunité pour les producteurs marocains

    secteur-huile-olive-maroc.jpgLe marché de l’huile d’olive bat son plein pour les pays africains du pourtour de la méditerranée et notamment depuis le déclin des situations de l’Espagne et de l’Italie.
    Le niveau du marché de l’huile d’olive n’a jamais été aussi haut depuis 10 ans (à savoir la tonne est chiffrée à 45 000 dirhams) et comme cette hausse est également liée aux productions difficiles que connaissent l’Espagne et l’Italie, le Maroc peut donc tirer partie de cette belle opportunité, on le dit souvent, le malheur des uns fait le bonheur des autres, et c’est ainsi actuellement pour la précieuse huile d’olive.

    Crise économique, conditions climatiques difficiles, notamment en raison de la sécheresse, l’Espagne ne peut assurer ses quotas habituels, quant à l’Italie avec la bactérie «Xylella Fastidiosa», la production a été réduite de moitié…

    Ainsi, cette situation favorise le marché Nord Africain et les exportations sont donc en augmentation vers les pays européens. Tunisie pour 75 % et Rabat souhaite donc profiter de tout cela pour atteindre la troisième place au niveau mondial d’ici 5 ans… une réelle opportunité donc pour les producteurs marocains d’huile d’olive.

    Grâce au Plan Maroc Vert, et aux ambitions de son économie agricole, le Maroc compte déjà 1 million d’hectares d’oliveraie récemment plantés sur les 1,2 million d’hectare qu’il faudra au total pour atteindre l’objectif fixé…
    Actuellement, l’huile d’olive vierge est passée de 24  dirhams le kilogramme à 35 dirhams, et cela en une année seulement, ainsi, il est normal que les producteurs marocains regardent l’avenir sous de meilleurs hospices…

     

    Source : www.agrimaroc.ma