Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Développement durable - Page 12

  • Le Maroc se dote d'un Centre de compétence dans le développement durable (2C2D)

    Le Maroc vient de se doter d’un Centre de compétence dans le développement durable (2C2D). La structure a été mise sur pied par des experts, des enseignants-chercheurs et d’anciens hauts cadres qui œuvrent pour le développement durable dans ce pays d’Afrique du Nord.

    Plusieurs experts marocains engagés dans le développement durable souhaitent accompagner la transition écologique au Maroc et en Afrique. Pour ce faire, ils ont décidé de créer un Centre de compétence dans le développement durable (2C2D). La structure a été inaugurée récemment par les fondateurs, dont des experts, des enseignants-chercheurs et d’anciens hauts cadres de l’administration qui travaillent à l’amélioration des conditions de vie des populations via des initiatives durables.

    Lire la suite

  • Oriental: Un partenariat ADO-ONUDI pour la promotion des produits de terroir

    Berkane – La valorisation de certains produits de terroir et le développement du commerce solidaire, tels sont les principaux objectifs d’un projet réalisé par l’Agence de développement de l’Oriental (ADO) en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) au niveau de la province de Berkane.

    Un communiqué de l’ADO précise dans ce sens qu’un projet pilote relatif à la filière miel a été mené dans un territoire de la province groupant trois communes, à savoir Tafoughalt, Sidi Bouhria et Rislane, et ce dans la perspective de le généraliser sur le territoire régional.

    Pour les responsables de l’ADO, la conclusion d’un accord de partenariat avec l’ONUDI pour la valorisation de certains produits s’inscrit dans la droite ligne de sa stratégie de développement et de promotion des produits de terroir et l’introduction d’une nouvelle culture de développement local.

    Ce projet de partenariat vise l’encouragement de l’auto-emploi, le développement de l’esprit entrepreneurial et l’accompagnement des apiculteurs pour mettre fin aux pratiques traditionnelles qui négligent les mesures de sécurité sanitaire.

    Le but est de sensibiliser également les producteurs à travailler en réseau, afin de réduire les coûts, mutualiser l’investissement et contribuer à la chaine de valeur des filières.

    Pour la mise en œuvre de cette expérience, l’Agence de l’Oriental et son partenaire onusien ont appuyé techniquement et financièrement le « GIE Miel Oriental », qui regroupe 4 coopératives réunissant 30 membres, pour l’installation d’une unité moderne d’extraction et de conditionnement, l’augmentation du nombre des ruches et l’organisation de cycles de formation pour les coopérateurs bénéficiaires dans des domaines techniques et commerciales.

  • Dakhla : Interdiction de la récolte et de la commercialisation des coquillages

    Rabat, Le Département de la pêche maritime a décidé d’interdire la récolte et la commercialisation de la coque issue de la zone conchylicole Boutalha coque relevant de la circonscription maritime de Dakhla, et ce jusqu’à épuration totale du milieu.

    Les résultats d’analyses effectuées par l’Institut National de Recherche Halieutique (INRH) au niveau de la zone conchylicole classée Boutalha coque relevant de la circonscription maritime de Dakhla, « dénotent une contamination bactériologique dans la coque à des teneurs dépassant les normes admises », indique un communiqué du Ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts.

    En conséquence, le Département de la Pêche recommande aux consommateurs « de ne s’approvisionner qu’en produits conditionnés, portant les étiquettes sanitaires d’identification et commercialisés dans les point de vente autorisés (marchés officiels) », souligne le communiqué.

    Les coquillages colportés ou vendus en vrac ne présentent aucune garantie de salubrité et constituent un danger pour la santé publique, avertit le ministère.