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Développement durable - Page 10

  • 5 gestes simples pour lutter contre la pollution plastique

    Les titres de la presse sont sinistres, et les images poignantes. Une baleine qui meurt en Thaïlande (a) après avoir avalé 80 sacs en plastique. Des tortues piégées dans les anneaux en plastique de packs de canettes. Quant à cette photo d’un petit hippocampe agrippé sur un coton tige, elle a fait le tour du monde. Chaque jour, de l’Indonésie au littoral ouest-africain, les déchets plastiques des océans viennent se déverser sur les plages, tandis que, dans les villes, les cours d’eau sont de plus en plus remplis de ces détritus.

    Mais le monde a pris conscience du danger et, du côté des États comme des entreprises et des populations, on commence à agir. Comment ? En interdisant ou en taxant les produits plastiques à usage unique, en investissant dans la récupération des déchets, en limitant l’utilisation d’emballages en plastique, ou encore en nettoyant les plages. Nous nous efforçons de réduire notre dépendance au plastique, pour sauver la santé de la planète et de ses habitants.

    « Combattons la pollution plastique » : c’est le thème choisi cette année pour célébrer la Journée mondiale de l’environnement. La Banque mondiale contribue à cet effort collectif en utilisant toute sa gamme d’instruments de financement et de concertation pour aider les pays et les villes à rechercher et financer des solutions au fléau des déchets plastiques marins. Entre autres champs d’action, la Banque mondiale investit stratégiquement dans l’amélioration des systèmes de gestion des déchets urbains, pour lutter à long terme contre ce qui constitue une source majeure de la pollution plastique des océans. Depuis 2000, elle a consacré plus de 4,5 milliards de dollars à l’amélioration de plus de 300 programmes de gestion des déchets ménagers afin de réduire les risques de pollution environnementale. La Banque s’attache aussi à retracer le parcours des déchets dans les océans à travers une série d’analyses des zones critiques de pollution plastique. L’enjeu, ici, est de prioriser les investissements et de mettre en évidence les mesures qui permettront d’obtenir des effets rapides.

    Disposer de bons systèmes de gestion des déchets ménagers, c’est essentiel, mais certainement pas suffisant. Chacun d’entre nous doit s’impliquer, car la lutte contre la pollution plastique passe aussi par des actions individuelles.

    Voici cinq gestes simples que VOUS pouvez adopter — dès AUJOURD’HUI — pour éliminer la pollution plastique :

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  • Salon International de l'Eau et de l'Irrigation


    salon-irrigation-fellahtrade.jpg

    La rationalisation de la ressource en eau est l’un des enjeux du Plan Maroc Vert, véritable politique de relance de l’agriculture. En matière d’irrigation, l’Etat prévoit l’introduction de systèmes à économie d’eau sur 670 000 Ha d’ici 2020 contre 150 000 Ha aujourd’hui.

    Dans la seule région du Tadla Azilal, l’un des 9 grands périmètres irrigués du Maroc, quelque 126 000 agriculteurs sont concernés et plus de 88 000 Ha doivent être progressivement reconvertis du gravitaire au localisé ( 49 000 Ha en collectif et 39 000 Ha en individuel).

    SIEITA, 1er Salon International de l’Eau et de l’Irrigation de la région Tadla Azilal, s’inscrit en droite ligne de cette stratégie. Rendez-vous incontournable pour tous les professionnels de l’eau et de l’irrigation, le salon rassemblera pendant 4 jours les équipements, les techniques et les services capables de répondre aux enjeux de la bonne gestion et de la préservation des ressources en eau au Maroc.

    Organisé sous initiative royale et en partenariat avec le Ministère marocain de l’Agriculture, SIEITA réunira du 19 au 22 Octobre 2011 à Béni Mellal, 100 exposants qui présenteront une offre internationale et diversifiée à 5000 visiteurs professionnels issus de l’agriculture, des collectivités locales, de l’industrie, et du secteur tertiaire.

     

    source : http://sieita.ma/

  • 6eme journées internationales des Sciences de l'environnement

    fellahtrade-eolienne.jpgLa 6ème édition des journées internationales des sciences de l'environnement aura lieu, du 21 au 23 juin à Oujda, avec la participation d'universitaires, de chercheurs et de spécialistes du Maghreb et de la rive nord de la Méditerranée.

    Organisée par la faculté des sciences de l'université Mohamed Premier d'Oujda avec l'appui du Conseil de la région de l'Oriental, cette 6ème édition se tiendra sous le thème « Environnement et développement durable ».

    Selon ses initiateurs, ce colloque scientifique d'envergure internationale, qui a connu des succès de plus en plus grandissants depuis sa première édition en 2001 à Meknès, ambitionne de mettre en relief les nouvelles avancées de la recherche scientifique dans ce domaine, le développement d'une plateforme et des synergies scientifiques en vue d'élaborer des projets de coopération, et la sensibilisation aux divers problèmes de l'environnement et à l'exploitation rationnelle des ressources naturelles.

    « Notre volonté est d'inscrire dans la durée la tradition d'une recherche de plus en plus grandissante dans le domaine des géosciences de l'environnement en impliquant l'ensemble des acteurs oeuvrant dans ce secteur avec le souhait profond de renforcer davantage l'ouverture de l'université sur son milieu socio-économique », soulignent-ils dans un communiqué.

    Ce colloque va réunir plus de 300 participants venant, outre le Maroc, d'Algérie, de Tunisie, de France, de Belgique et du Cameroun, tous conscients de démontrer à la société, à travers cet événement, le rôle crucial que les scientifiques jouent dans la quête du développement durable et d'exposer comment les sciences de l'environnement contribuent directement au développement en préservant les ressources naturelles, et en atténuant l'impact des risques naturels et anthropiques.

    Les débats porteront notamment sur « le milieu naturel et développement durable », « hydrogéologie et ressources en eau », « gestion des déchets : pollution et dépollution », « génie civil, aménagement et urbanisme », « changements climatiques : causes et impacts », et « biodiversité ».

     

    source : MAP