Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Développement rural - Page 6

  • Maroc : Inauguration d'un centre d'innovation en agro-alimentaire

    Le ministre marocain de l'Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Mohammed Sadiki, a présidé mercredi, en marge d'un workshop international sur l'agriculture circulaire et les innovations agroécologiques, la cérémonie de lancement du CENAM Innovation, un centre d'innovation en agro-alimentaire dans la ville de Meknès (200 km au nord-est de la capitale Rabat).

    D'un coût de 28 millions de dirhams (environ 2,6 millions d'euros), ce centre assurera la formation, la montée en compétence et l'appui aux porteurs de projets, l'incubation des start-up, l'innovation et l'accompagnement des agroindustriels.

     

    Lire la suite

  • Agriculture au Maroc, un moteur clef de la croissance économique

    L’agriculture au Maroc est le premier contributeur (environ 14%) du PIB devant le tourisme et l'industrie. Toutefois, selon les années en fonction des conditions climatiques, il existe des variations importantes allant de 11 à 18 %. Et comme l’agriculture a toujours constitué un pilier essentiel de l’économie et de la société du Royaume, ses performances conditionnent même celles de l’économie tout entière. En effet, le taux de croissance du pays est fortement corrélé à celui de la production agricole. Par ailleurs, l’agriculture au Maroc emploie près de la moitié de la population active et fournit 23 % des exportations du pays. Le dynamisme qu’a connu le secteur des exportations des produits agricoles a permis au Maroc de se hisser parmi les premiers exportateurs mondiaux des produits agricoles.

    Lire la suite

  • L'agroforesterie, une agriculture écologique et créatrice d'emplois

    Dans les années 60, on a construit une agriculture standardisée autours de monocultures », dit le jeune ingénieur agronome. Il explique que ce modèle a alors « rendu service » mais au prix fort, appauvrissant les sols et rendant les agriculteurs toujours plus dépendants des engrais chimiques et des produits phytosanitaires. Les arbres ont été éliminés, les terres remembrées et les sols laissés à nu après les moissons.

    « Après la seconde guerre mondiale on avait 3 % de matière organique dans les sols, aujourd'hui l'on est à 1, 4%, on a perdu la moitié de stock, c'est-à-dire une grande partie de la fertilité. L'idée de l'agroforesterie c'est d'inverser cette tendance. » Fabien Balaguer explique qu'en réintégrant « l'arbre dans le système agricole on produit de la biodiversité » et ainsi on « reconstitue les sols ».

    Lire la suite