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Le Blog Fellah Trade - Page 54

  • Ecolodge ouednoujoum, entre tourisme et écologie

    fellahtrade-ouednoujoum2.gifEcolodge ouednoujoum a été nominé, dans la catégorie «Initiative», par le jury d’«ALM Ecology Trophy», les trophées de l'écologie. Ce bivouac écologique constitue un pôle de tourisme rural par excellence.

    C'est une véritable plate-forme de l'écotourisme à l'international. Son espace géo-biologique procure la sérénité par sa qualité biotique et son ionisation atmosphérique naturelle. Quant au patrimoine de la vallée, il est en mesure de devenir un espace d'accueil touristique. C'est pourquoi sa position privilégiée mérite d'être creusée pour une meilleure exploitation et rentabilisation à vocation touristique et culturelle. S'il en est ainsi, ce produit d'avant-garde, très recherché par les touristes individuels et les tour-opérateurs étrangers actuellement, est le seul mode d'industrie des loisirs dit tourisme rural et durable qui se rattache à la culture, à la tolérance et au rapprochement des uns et des autres.fellahtrade-ouednoujoum.gif

    De surcroît, il est susceptible de promouvoir une économie en circuit court et durable, d'engendrer un mouvement dynamique des marchés émetteurs. Le développement de ce produit permettra d'attirer une nouvelle clientèle et d'augmenter les investissements dans le monde rural. L'objectif attendu est de réduire la pauvreté, améliorer le niveau de vie de la population rurale et soutenir la croissance économique régionale.

    De ce fait, le tourisme rural est devenu un axe de développement majeur pour que le monde rural profite des retombées des grands pôles touristiques du pays et essaie, à travers cet apport, de protéger la nature. La protection de l'environnement étant la clé d'un développement durable du tourisme rural.

  • SIAM 2010, le bilan

    fellahtrade-siam.gifC'est donc sur un bilan hautement positif que les participants au SIAM se sont quitter. La cinquième édition a attiré plus de 800 exposants nationaux et étrangers et quelque 800.000 visiteurs.

    Les organisateurs ne cachent pas leur satisfaction du bilan et leur détermination à mieux faire l'année prochaine pour perfectionner les différents contours de cette grand-messe aux niveaux organisationnel, thématique, scientifique pour la rendre encore plus attractive.

    SM le Roi Mohammed VI avait inauguré, mercredi dernier, la cinquième édition de ce Salon international, organisé par le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime sous le thème "le développement durable".

    Cette manifestation, qui traduit l'importance accordée par le Maroc à l'agriculture en tant que levier de développement durable et grand employeur, constitue également une réponse à la nécessité de développer le secteur agricole et lui permettre d'affronter la concurrence dans un contexte marqué par une mondialisation galopante et une crise économique mondiale. fellahtrade-siam-credit-agr.gif

    Le Plan Maroc Vert (PMV) y a, encore une fois, volé la vedette confortant son statut de vecteur de développement durable et de force de mobilisation en faveur d'une agriculture pérenne alliant viabilité économique et équité sociale.

    L'architecture de l'exposition, version 2010, s'est articulée autour de neuf pôles thématiques, à savoir : "16 régions du Royaume", "Sponsors et Institutionnels", "International", "Produits agricoles", "Agrofournitures", "Machinisme", "Nature, Environnement et Développement durable", "le Souk", "Coopératives, Associations, Produits du terroir" et "Elevage".

    Cette année, le salon a connu l'organisation d'une série de conférences et de tables rondes scientifiques animées par des experts et des professionnels nationaux et internationaux, outres des rencontres d'information et de sensibilisation initiées par les organisateurs au profit des agriculteurs.

    Les organisateurs ont aussi réservé un espace dédié aux animations (concours d'élevage, ateliers de produits et animations du Souk...) qui ont offert aux visiteurs l'occasion de découvrir les richesses du Royaume.

    Source : MAP

  • Le Maroc en voie de dépasser les OMD

     

    fellah-eau-potable.gifSelon la Banque mondiale, le Maroc aurait accompli des réalisations dépassant les Objectifs du Millénaire pour le Développement en matière d’eau et d’assainissement, grâce à une augmentation des dépenses publiques dans ce domaine.

    Une donnée soulignée et saluée par la Banque mondiale qui a précisé que les efforts déployés par le Royaume dans le secteur de l’eau sont très louables. La Banque mondiale a, par ailleurs, révélé dans une note les réalisations du Maroc dans ce secteur stratégique et ses performances sont le résultat de l’accroissement des dépenses publiques consacrées au renforcement des infrastructures dans le domaine de la gestion de l’eau et de l’assainissement.

    Les réformes entreprises au Maroc dans ce domaine ont largement contribué à l’amélioration des taux d’accès à l’eau potable dans le monde rural mais également au raccordement au réseau d’assainissement dans les quartiers périurbains.

    Par ailleurs, grâce à l’accélération des programmes d’approvisionnement en eau dans les zones rurales, y compris un projet de 60 millions de dollars financé par la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD), le taux d’accès à l’eau potable est passé de 50% en 2004 à 87% en 2009 dans le monde rural, a salué la Banque. Elle a indiqué également que le Royaume a mis l’accent sur les politiques de gestion des ressources hydriques, notamment le développement de nouvelles alternatives, comme le dessalement de l’eau de mer et le traitement des eaux usées.

    À cet égard, la Banque Mondiale a souligné l’importance du programme national d’économie des eaux d’irrigation, qui a mobilisé 34 milliards de dirhams, pour économiser de 30 à 50% d’eau. Les prochaines étapes dans le partenariat entre la Banque mondiale et le Maroc dans le domaine de l’eau porteront principalement sur un dialogue politique et des prêts pour accompagner davantage les réformes et les investissements, visant à adapter la gestion des ressources hydriques au changement climatique, à moderniser le secteur de l’irrigation et à réorganiser le secteur de l’approvisionnement en eau et l’assainissement.

    Enfin, la Banque a salué également la politique des barrages menée au Maroc, qui a été, selon la note, « couronnée de succès », mettant l’accent toutefois sur les efforts qui restent encore à faire notamment dans les domaines de la gestion de la demande en eau et de la préservation des ressources hydriques.