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Le Blog Fellah Trade - Page 20

  • Covid 19: Quand les plantes aromatiques et médicinales servent de traitement

    En dépit des mesures préventives contre le coronavirus, le secteur des plantes aromatiques et médicinales (PAM), profite bien de la psychose liée à cette pandémie.

    L’absence de médicaments ou de vaccin contre le coronavirus fait que certains jouent aux apprentis sorciers. Que ça soit au Maroc ou en Tunisie, les populations se tournent vers les plantes aromatiques et médicinales pour endiguer à leur manière cette pandémie.

    Récemment, le prix de l’ail avait connu une flambée inhabituelle en raison de son soit disant efficacité contre le coronavirus. Ainsi, l’OMS a dû expliquer sur son site qu’il fallait “en finir avec les idées reçues“. En précisant : “L’ail est un aliment sain qui peut avoir certaines propriétés antimicrobiennes. Cependant, rien ne prouve, dans le cadre de l’épidémie actuelle, que la consommation d’ail protège les gens contre le nouveau coronavirus…”

    Le secteur des plantes aromatiques et médicinales (PAM) demeure primordial au Maroc et en Tunisie. En effet, le Maroc se classe au deuxième rang mondial après la Turquie en matière de diversité végétale. Par ailleurs, cette richesse végétale comprend plus de 42.000 variétés de plantes, dont environ 800 variétés ayant des spécificités aromatiques et médicinales.

    En Tunisie, le secteur des PAM contribuait en 2013, “en moyenne, à hauteur de 0,8% à la formation de la valeur de la production agricole, de 1% à l’effort d’exportation”.

    Deux ans plus tôt, la superficie totale des PAM cultivées en Tunisie était estimée à 4 550 hectares; dont 1 396 hectares pour les seules plantes médicinales. On compte plus de 2 000 espèces de plantes. Ainsi, ceci fait du pays “un véritable réservoir phytogénétique”, eu égard à sa nature tant méditerranéenne que saharienne.

  • Dakhla : Interdiction de la récolte et de la commercialisation des coquillages

    Rabat, Le Département de la pêche maritime a décidé d’interdire la récolte et la commercialisation de la coque issue de la zone conchylicole Boutalha coque relevant de la circonscription maritime de Dakhla, et ce jusqu’à épuration totale du milieu.

    Les résultats d’analyses effectuées par l’Institut National de Recherche Halieutique (INRH) au niveau de la zone conchylicole classée Boutalha coque relevant de la circonscription maritime de Dakhla, « dénotent une contamination bactériologique dans la coque à des teneurs dépassant les normes admises », indique un communiqué du Ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts.

    En conséquence, le Département de la Pêche recommande aux consommateurs « de ne s’approvisionner qu’en produits conditionnés, portant les étiquettes sanitaires d’identification et commercialisés dans les point de vente autorisés (marchés officiels) », souligne le communiqué.

    Les coquillages colportés ou vendus en vrac ne présentent aucune garantie de salubrité et constituent un danger pour la santé publique, avertit le ministère.

  • Tétouan : ouverture du nouveau marché de gros au poisson

    marche-gros-poisson-tetouan.jpgLe Ministre de l'Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, a présidé le vendredi 31 janvier 2020, l'ouverture du marché de gros au poisson de Tétouan.

    La mise en place de cette nouvelle infrastructure de commercialisation des produits halieutiques s'inscrit dans le cadre de la convention de réaménagement de l'espace urbain et économique de la ville de Tétouan signée en avril 2014, incluant un partenarial entre l'Office National des Pêches (ONP) et la Commune Urbaine de Tétouan.

    Ce projet a nécessité un investissement de 40 millions de dirhams sur une superficie de 2 hectares dont 2 167 m² couverts, et vient renforcer le réseau national des marchés de gros au poisson au nombre de dix.

    Dans le respect des normes les plus strictes en matière d'hygiène, il est notamment doté d'un espace de vente à température contrôlée et dispose d'une chambre froide pour l'entreposage des produits, une unité de gestion des contenants normalisés ainsi que divers locaux techniques et sociaux. Il est également équipé d'un dispositif de vidéosurveillance relié en permanence au système de supervision central.

    Pour rappel, les marchés de gros au poisson ont permis en 2019 la commercialisation de près de 167 000 tonnes des produits de la pêche pour une valeur de 655 MDhs.

     

    Source : MAPMDREF